mercredi 8 mai 2013
mardi 2 avril 2013
jeudi 28 mars 2013
Bonnes Fêtes de Pâques....
Il y a tant à être et à offrir pour sertir le monde d’un cristal de sérénité.
Comme une éternelle floraison au cœur même d’une humanité nouvelle, nous sommes graines et semences d’avenir…
jeudi 21 mars 2013
L e nigari
Le nigari et les vertus du chlorure de magnésium
Si vous connaissez le chlorure de magnésium, vous connaissez beaucoup de bienfaits des cures de nigari. Sauf que les avantages du nigari sur le chlorure de magnésium sont nombreux.En effet, extrait du sel de mer, le nigari possède des oligo-éléments de l'eau de mer. Au contraire, le chlorure de magnésium vendu en pharmacie est synthétique.
Le magnésium du nigari est séparé du reste du sel de mer gris par lavage. L'eau de lavage est ensuite réduite jusqu'à ce que le nigari emporté recristallise.
Le nigari est souvent pris pour une algue, alors que le nigari n'est en fait qu'un sel enrichi en chlorure de magnésium extrait de l'eau de mer. Ce pourquoi le nigari bio n'existe pas, comme tout produit de la mer.
De plus, si vous croyez que le naturel est toujours plus cher, le sel de nigari trouvé en magasin de produits biologiques vous étonnera par son prix surtout en conditionnement de 1 kg plutôt qu'en sachet de 100 g.
Attention cependant à l'utilisation du nigari ou du chlorure de magnésium, surtout en cas d'insuffisance rénale et de régime sans sel.
D'ailleurs, l'iridologue peut soupçonner un terrain intoxiqué par le chlorure de magnésium, un régime trop salé ou un excès minéral d'une autre nature. Le sel nigari ne comblera pas une carence en magnésium, sauf s'il est utilisé dans une alimentation naturelle, dilué dans du jus de carotte, par exemple.
Le nigari a certaines propriétés du plasma de Quinton pour votre santé comme celle d'augmenter le bien-être en diminuant la fatigue. Riche en magnésium, le nigari participe à l'équilibre acido-basique de notre alimentation tout comme les aliments alcalins.
Ainsi, le nigari ne sert pas que comme coagulant du tofu, mais possède des indications pour votre santé.
Son utilisation se fait traditionnellement en naturopathie pour de nombreux troubles comme la fatigue, la constipation, l'acné, les infections diverses (grippe), la déminéralisation...
La posologie du nigari est à trouver selon la tolérance du transit, la prise ne doit pas provoquer de diarrhée forte ou chronique. Il est possible d'utiliser le nigari par cure à une gorgée par repas d'une dilution de 20 grammes pour un litre d'eau (dilué dans une bouteille en verre). La prise du nigari peut se faire par voie orale ou sublinguale comme pour la méthode huile-bouche.
Découvrez le secret pour avaler le nigari malgré son goût particulier.
lundi 18 mars 2013
vendredi 8 mars 2013
mercredi 6 mars 2013
le kéfir
Les vertus méconnues du Kéfir
Un produit diététique et bon pour la peau !
- Les vertus du kéfir -
100 % naturels, les grains de kéfir sont une source intarissable pour renforcer l'immunité et rendre la peau plus belle !
Dès leur enfance les habitants du Caucase boivent le kéfir comme de
l'eau et vivent en moyenne jusqu'à l'âge de 110 ans. C'est la seule
région au monde où les habitants atteignent cet âge en étant en bonne
santé ! Connu depuis des siècles des bergers des montagnes du Caucase,
le kéfir est une boisson obtenue par l'auto- fermentation des grains.Le kéfir, c’est bon pour la santé !
Parmi ses propriétés, on peut noter :- la remise en ordre du système digestif
- la reconstitution de la flore intestinale
- le renforcement du système immunitaire
- la normalisation du poids corporel et de la tension artérielle
- la diminution du taux de cholestérol.
Préparation de la recette :
Temps de préparation : 1440 minutes
Temps de cuisson : 0 minutes
Ingrédients (pour 1 litres) :
-80 g de sucre par litre d'eauTemps de cuisson : 0 minutes
-80 g de grains de kéfir par litre d'eau
- 2 figues sèches
- 1 à 2 rondelles de citron
Il est préférable de faire fondre le sucre avant.
Remplir d'eau avec la quantité que vous désirez obtenir.
Quand les figues remontent en surface, la boisson est prête.
1 fois par jour en hiver et plus souvent en été (je le fais qu'une fois par jour, été ou hiver) Jetez les figues et le citron.
Filtrez le reste dans une passoire métallique.
Conservez-le dans une bouteille à capsule hermétique genre bouteille de bière que vous placerez au réfrigérateur.
Commencer à le consommer le lendemain.
Faire uniquement la quantité que l'on consomme par jour.
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Remarques :
Le surplus de grains vous pouvez le distribuer autour de vous ou les faire sécher.
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mardi 26 février 2013
Pom' d'Amour
Préface
La vie ne serait – elle
pas cette grande toile de chaque jours,
guidée par nos
envies, nos désirs , nos humeurs;
tel un fruit
aux mille et une saveurs
et mille et une
couleur poudrés de bonheur.
Dans chaque allées de nos
amours tant de carrés nous parcourons!
Quelques carrés rouge
passion comme un été chaude saison
Carré d'hiver d'un ciel
bleu clair, carrés d'hier....carrés poussières.
Carré d'antan, carrés
tourments, carrés d'enfant, jaune orangés remplis de rires et de
beauté;
Carrés voyages, carrés
vacances, repos et plage de détente.
A chaque AMOUR une saison
A chaque désir sa raison.
Carrés trop blancs vides
et absents
Carrés trop noirs de
douleurs, de désespoirs et de malheurs ,
Carrés trop gris, trop de
soucis
Carrés de nuit ou tout
s'endort: repos de l'âme et du corps
Carrés d'enfant remplis de
rires
Carrés d'espoir ….. des
mots à dire.
tout comme dans une pom' d' amour
Croquez ce recueil à pleine dents!
Il suffit de m ' adresser 15 euros par chèque a mon adresse personnelle et je vous adresse en retour
mon recueil dans une pochette bulle avec dédicace ainsi qu' un marque page offert !
mon recueil dans une pochette bulle avec dédicace ainsi qu' un marque page offert !
vendredi 7 décembre 2012
l argent texte
L'ARGENT
Il peut acheter une maison
Mais pas un foyer
Il peut acheter un lit
Mais pas le sommeil.
Il peut acheter une horloge
Mais pas le temps.
Il peut acheter un livre
Mais pas la connaissance.
Il peut acheter une position
Mais pas le respect
Il peut payer le médecin
Mais pas la santé.
Il peut acheter du sang
Mais pas la vie
Il peut acheter du sexe
Mais pas de l'amour.
Il peut acheter une maison
Mais pas un foyer
Il peut acheter un lit
Mais pas le sommeil.
Il peut acheter une horloge
Mais pas le temps.
Il peut acheter un livre
Mais pas la connaissance.
Il peut acheter une position
Mais pas le respect
Il peut payer le médecin
Mais pas la santé.
Il peut acheter du sang
Mais pas la vie
Il peut acheter du sexe
Mais pas de l'amour.
vendredi 30 novembre 2012
Faux semblants pour moins souffrir
Faux-semblants
Et si on faisait semblant ?
Semblant de vivre, semblant de rire
Et si on faisait semblant ?
Semblant de guérir, semblant de mourir.
Acteur d’un soir, pour se faire croire
Qu’on est ailleurs, dans d’autres corps
Une vie meilleure, une autre mort
Acteur d’un soir, juste pour voir.
La comédie s’achève, le film est terminé
Un scénario léger, on s’est bien amusé
Mais on reprend nos rôles, notre costume
Est bien lourd, on va bien s’accrocher.
Les armes ne sont plus factices, les balles
Qui nous blessent font de vrais dégâts.
Notre vie n’est pas comme dans les salles
Quand le héros meurt, il ne se relève pas.
Et si on faisait semblant ?
Semblant de vivre, semblant de rire
Et si on faisait semblant ?
Semblant de guérir, semblant de mourir.
Acteur d’un soir, pour se faire croire
Qu’on est ailleurs, dans d’autres corps
Une vie meilleure, une autre mort
Acteur d’un soir, juste pour voir.
La comédie s’achève, le film est terminé
Un scénario léger, on s’est bien amusé
Mais on reprend nos rôles, notre costume
Est bien lourd, on va bien s’accrocher.
Les armes ne sont plus factices, les balles
Qui nous blessent font de vrais dégâts.
Notre vie n’est pas comme dans les salles
Quand le héros meurt, il ne se relève pas.
samedi 27 octobre 2012
A mi chemin
A mi-chemin
D'amourettes en amours tu distilles ta jeunesse.
De joies en chagrins tu construits ta vie,
la promesse d'une vie te mène à l'autel d'une église.
Des enfants tu chéris, une femme tu remercies
de t'avoir mené jusqu'ici. Les douleurs, les soucis
Tu les gères, les digères. Ton destin se précise.
A mi-chemin de ta vie, tu sembles comblé.
Une famille, une maison, un métier.
Les rêves réalisés, tu crois avoir réussi.
Dans un coin de l'esprit subsiste une flamme,
Étouffée, refoulée, évacuée de l'âme.
Pirouette ajustée salutaire du cœur.
Dans ta vie remplie, une flamme jumelle ressurgi.
Étincelle de vie qui met le feu aux poudres des envies.
Lumière céleste, étoile d'espoir, retour de l'âme sœur.
Fred Nicole
D'amourettes en amours tu distilles ta jeunesse.
De joies en chagrins tu construits ta vie,
la promesse d'une vie te mène à l'autel d'une église.
Des enfants tu chéris, une femme tu remercies
de t'avoir mené jusqu'ici. Les douleurs, les soucis
Tu les gères, les digères. Ton destin se précise.
A mi-chemin de ta vie, tu sembles comblé.
Une famille, une maison, un métier.
Les rêves réalisés, tu crois avoir réussi.
Dans un coin de l'esprit subsiste une flamme,
Étouffée, refoulée, évacuée de l'âme.
Pirouette ajustée salutaire du cœur.
Dans ta vie remplie, une flamme jumelle ressurgi.
Étincelle de vie qui met le feu aux poudres des envies.
Lumière céleste, étoile d'espoir, retour de l'âme sœur.
Fred Nicole
dimanche 7 octobre 2012
Masturbation enfiévrée
Je souffre de n’être plus que le dessous de la lampe
De voir s’assoupir mes lumineuses heures de gloire
J’enrage de sentir s’étouffer les feux de la rampe
Cligner des yeux, hésité, trébucher puis faire-valoir.
Je ne suis plus qu’une flaque de sperme sur l’océan de mes envies
Je crève de n’embrasser que le derrière de la passion
Je suis un vieux volcan aux dents rongées par la jalousie
Je navigue comme un bateau ivre entre bénédiction et déréliction.
Je ne suis à l’amour ce que le seau de glace est au champagne
De n’être qu’un malade de plus lorsque la fièvre me gagne
Je suis comme une paire d’yeux d’automne abusés par l’été
Je ne sais plus, j’ai oublié comment jouir d’une virginité.
Que c’est lourd de contempler des yeux qui ont batifolé avec d’autres iris
Que c’est hard de caresser des mains qui ont tremblé sur d’autres peaux
Que c’est lourd et visqueux de s’apercevoir qu’on ne prête qu’au vice
Jadis étendard sanglant claquant aux vents et aujourd’hui porte drapeaux.
Est-ce un crime de ne voir que le côté corbeau d’une tourterelle ?
Est-ce un crime d’être plus près de la caravane que du soleil ?
Est-ce un crime d’être perdu du mauvais côté de l’arc-en-ciel ?
De ces heures d’errance, j’entends déjà les soupirs de l’accordéon.
Je haïs ce chiffre deux, comme cette dualité qui m’empoisonne
Je me languis, puni, dans cette éternelle position d’attente
J’ai dû faire une putain de faute dans cette dictée suintante
L’ivresse de la perspective d’être premier, m’emprisonne.
Je suis un vieux cow-boy, j’veux plus chanter en play-back
Pour une fois encore, je veux être la bouche avant le sexe
Pour une dernière fois, je voudrais être le majeur avant l’index
Je suis un vieux pervers, j’veux plus être le bourrin sous le cosaque.
J’veux plus être le briquet qu’on bat avant la flamme
J’veux plus être l’éponge après le savon
J’veux plus que les Dieux bradent mon âme
Je ne supporte plus être Jésus derrière les santons…
Oui, je fus number one, il y a longtemps, dans une autre vie.
J’en ai encore la saveur tatouée sur ma langue.
Aujourd’hui, je ne rêve plus que de ce pays où il n’y a pas de number two…
Je trouverai ce pays de cocagne, mais je serais encore foutu d’être… Number tree…
Pat GODARD
De voir s’assoupir mes lumineuses heures de gloire
J’enrage de sentir s’étouffer les feux de la rampe
Cligner des yeux, hésité, trébucher puis faire-valoir.
Je ne suis plus qu’une flaque de sperme sur l’océan de mes envies
Je crève de n’embrasser que le derrière de la passion
Je suis un vieux volcan aux dents rongées par la jalousie
Je navigue comme un bateau ivre entre bénédiction et déréliction.
Je ne suis à l’amour ce que le seau de glace est au champagne
De n’être qu’un malade de plus lorsque la fièvre me gagne
Je suis comme une paire d’yeux d’automne abusés par l’été
Je ne sais plus, j’ai oublié comment jouir d’une virginité.
Que c’est lourd de contempler des yeux qui ont batifolé avec d’autres iris
Que c’est hard de caresser des mains qui ont tremblé sur d’autres peaux
Que c’est lourd et visqueux de s’apercevoir qu’on ne prête qu’au vice
Jadis étendard sanglant claquant aux vents et aujourd’hui porte drapeaux.
Est-ce un crime de ne voir que le côté corbeau d’une tourterelle ?
Est-ce un crime d’être plus près de la caravane que du soleil ?
Est-ce un crime d’être perdu du mauvais côté de l’arc-en-ciel ?
De ces heures d’errance, j’entends déjà les soupirs de l’accordéon.
Je haïs ce chiffre deux, comme cette dualité qui m’empoisonne
Je me languis, puni, dans cette éternelle position d’attente
J’ai dû faire une putain de faute dans cette dictée suintante
L’ivresse de la perspective d’être premier, m’emprisonne.
Je suis un vieux cow-boy, j’veux plus chanter en play-back
Pour une fois encore, je veux être la bouche avant le sexe
Pour une dernière fois, je voudrais être le majeur avant l’index
Je suis un vieux pervers, j’veux plus être le bourrin sous le cosaque.
J’veux plus être le briquet qu’on bat avant la flamme
J’veux plus être l’éponge après le savon
J’veux plus que les Dieux bradent mon âme
Je ne supporte plus être Jésus derrière les santons…
Oui, je fus number one, il y a longtemps, dans une autre vie.
J’en ai encore la saveur tatouée sur ma langue.
Aujourd’hui, je ne rêve plus que de ce pays où il n’y a pas de number two…
Je trouverai ce pays de cocagne, mais je serais encore foutu d’être… Number tree…
Pat GODARD
mercredi 19 septembre 2012
Petit anneau d' or
Petit anneau d'or
Témoin d'amour et d'union
Sceau gravé jusqu'à la mort
Fanion repère d'un amour rébellion.
Un jour de dépit, j' ai pensé te dire oui!
Petit anneau d' or
Témoin de trop d' années de faux amours
A mon doigts pourquoi te porter encore ;
Et t' ai je vraiment aimé un jour?
Un jour de dépit, j' ai pensé te dire oui!
Petit anneau d' or
Témoin de trop de haine, de faux semblants
A mon doigt, bientôt tu ne seras plus
Reflets de trop de cris, haine, jalousie et méprit.
Un soir d' incendie, tu m' a dis déguerpis!
A toi qui n'a pas osé un jour m' aimer
Je veux ce matin t' épouser.
Épouser tes dunes , au clair de lune
Demain, a toi me marier.... ma liberté !
Un jour de dépit, j ai menti en disant OUI!
Mea Culpa!!
Et t' ai je vraiment aimé un jour?
Un jour de dépit, j' ai pensé te dire oui!
Petit anneau d' or
Témoin de trop de haine, de faux semblants
A mon doigt, bientôt tu ne seras plus
Reflets de trop de cris, haine, jalousie et méprit.
Un soir d' incendie, tu m' a dis déguerpis!
A toi qui n'a pas osé un jour m' aimer
Je veux ce matin t' épouser.
Épouser tes dunes , au clair de lune
Demain, a toi me marier.... ma liberté !
Un jour de dépit, j ai menti en disant OUI!
Mea Culpa!!
mardi 18 septembre 2012
ELECTRON Texte d' un ami poéte
En panne de toi depuis 2 jours,
malgré toutes mes prières...
Je vois que le courant peine à passer
Tu ne dis rien, je vais disjoncter!
Retrouve l’interrupteur, celui de ta lumière.
ELECTRON
Deux, je suis et deux je vis
Un parle répond sourit
Un pense être en sursis
Deux, je suis en court-circuit.
50 hertz est ma fréquence
50 fois par seconde, je passe
De l’un à l’autre, séquence
Sans fin qui me dépasse.
Je surfe sur 2 sinusoïdes
Sitôt en haut, sitôt en bas
Le biphasé n’existe pas
Un résultat bizarroïde.
Un court-circuit, 2 potentiels
Sur un même fil, choc pulsionnel
Entre 2 forces à contrecourant
Deux ascendants se percutant.
Au multimètre pourtant, bonne tension
Mais lorsque ces deux l' on branche
C’ est alors l’impact que l’on déclenche
Faisant à la seconde sauter les plombs.
Isoler un circuit semblerait sage
Sortir les outils, la grosse cavalerie.
En élec aussi existe de la magie
On peut créer des déphasages.
On peut câbler des va et vient
Un domino pour une dérivation
Chaque circuit, un par un
Et on évite les explosions.
Deux plus un, telle ma ligne de vie
Je dois modifier le schéma,
Du câblage de mon plasma,
Écran géant aux pixels infinis.
Ici, je place un condensateur
Dans la boîte à bornes de mon moteur.
Il décale tout de racine de trois
Et tourne avec elle, toi et moi.
Électron voyageant à vitesse de l’éclair
Je suis la diode qui cherche la lumière
Électron libre, survolté, je voudrais
Circuler, dans tes veines, sans regrets.
LE 09082012
F. N
malgré toutes mes prières...
Je vois que le courant peine à passer
Tu ne dis rien, je vais disjoncter!
Retrouve l’interrupteur, celui de ta lumière.
ELECTRON
Deux, je suis et deux je vis
Un parle répond sourit
Un pense être en sursis
Deux, je suis en court-circuit.
50 hertz est ma fréquence
50 fois par seconde, je passe
De l’un à l’autre, séquence
Sans fin qui me dépasse.
Je surfe sur 2 sinusoïdes
Sitôt en haut, sitôt en bas
Le biphasé n’existe pas
Un résultat bizarroïde.
Un court-circuit, 2 potentiels
Sur un même fil, choc pulsionnel
Entre 2 forces à contrecourant
Deux ascendants se percutant.
Au multimètre pourtant, bonne tension
Mais lorsque ces deux l' on branche
C’ est alors l’impact que l’on déclenche
Faisant à la seconde sauter les plombs.
Isoler un circuit semblerait sage
Sortir les outils, la grosse cavalerie.
En élec aussi existe de la magie
On peut créer des déphasages.
On peut câbler des va et vient
Un domino pour une dérivation
Chaque circuit, un par un
Et on évite les explosions.
Deux plus un, telle ma ligne de vie
Je dois modifier le schéma,
Du câblage de mon plasma,
Écran géant aux pixels infinis.
Ici, je place un condensateur
Dans la boîte à bornes de mon moteur.
Il décale tout de racine de trois
Et tourne avec elle, toi et moi.
Électron voyageant à vitesse de l’éclair
Je suis la diode qui cherche la lumière
Électron libre, survolté, je voudrais
Circuler, dans tes veines, sans regrets.
LE 09082012
F. N
Quelques Bijoux d'un créateur Belge ...Admirez
Regardez, admirez,
et demandez les tarifs si besoin à l' adresse qui suit!
http://gaby-unpeudetout.blogspot.be/2012/08/creations-de-bijoux-de-fantaisie.html#comment-form
vendredi 7 septembre 2012
Qu' entendrais je sonner !
Écrire pour briser les silences
Se taire c'est mourir un peu,
Parler pour reprendre confiance
Oser, pour apaiser le feu.
Pour écrire, il faut ouvrir son cœur
Les arts, reflets de la sensibilité..
J' ai ouvert le mien, j' ai fait l' erreur
Petites ailes si fragilement enflammées.
Une lionne a dompté un scorpion
Pauvre gémeaux perdu dans ses vies.
Hameçonné, déjà, par un poisson
Petit gémeaux pendu par ses envies!
L'astrologie n' y serait pour rien
dans ces choix cornéliens ?
L' on ne peut improviser ,
nos chemins semblent déjà tracés....!.
Pantins d'un gigantesque manège
balisés sont nos empreintes dans la neige.
Si tout est écrit par avance
J' attends la fin de la séance.
Le dénouement fera sonner
Les clochettes de ma fée adorée
Ou le glas d'un amour avorté..!
Les dés sont jetés, j ' attends la vérité !
le 12 08 2012.
NF
Merci a toi Fred de m' avoir confié ce texte intime
samedi 1 septembre 2012
SpondylArachnoïdante
svp. comprendre spondylarthrite ankylosante.
Merci
Inlassablement, méthodiquement, suspendue à son fil
Guidée par le vent, l’araignée fait sa toile
Instinctivement, fébrilement, aucun geste inutile
Architecte du temps, dessine son incroyable étoile.
Elle tourne et tourne encore
Pour fabriquer son piège de mort
Les écarts réguliers des maillons
Sur sa proie se resserreront.
Subjugué par tant de précision
J’admire cet insecte dangereux
Son filet est si fin qu’il fait illusion
Araignée, tu espères un dessert savoureux.
Tu voles et virevoltes, joli papillon
Bien trop désinvolte, ou trop aventureux
Papillon, tu voles mais attention
C’est vers un destin au combien malheureux.
D’abord engourdi par une première charge
Tu sens ta vie s’égoutter, tes ailes fatiguées
Par des liens invisibles où tu t’es englué
Tu es prêt, tu attends l’ultime décharge.
Dans la douleur tu t’endors pourtant
La torture est trop forte, il est temps de partir
Même si c’était le début du printemps
Petit papillon, résigné à mourir.
FRED
âme soeur de lorette depuis 20 ans
svp. comprendre spondylarthrite ankylosante.
Merci
Inlassablement, méthodiquement, suspendue à son fil
Guidée par le vent, l’araignée fait sa toile
Instinctivement, fébrilement, aucun geste inutile
Architecte du temps, dessine son incroyable étoile.
Elle tourne et tourne encore
Pour fabriquer son piège de mort
Les écarts réguliers des maillons
Sur sa proie se resserreront.
Subjugué par tant de précision
J’admire cet insecte dangereux
Son filet est si fin qu’il fait illusion
Araignée, tu espères un dessert savoureux.
Tu voles et virevoltes, joli papillon
Bien trop désinvolte, ou trop aventureux
Papillon, tu voles mais attention
C’est vers un destin au combien malheureux.
D’abord engourdi par une première charge
Tu sens ta vie s’égoutter, tes ailes fatiguées
Par des liens invisibles où tu t’es englué
Tu es prêt, tu attends l’ultime décharge.
Dans la douleur tu t’endors pourtant
La torture est trop forte, il est temps de partir
Même si c’était le début du printemps
Petit papillon, résigné à mourir.
FRED
âme soeur de lorette depuis 20 ans
dimanche 26 août 2012
A contre sens
A contre-sens
Ne plus penser pour comprendre
Tout oublier pour apprendre.
Rire encore à en pleurer
S‘enfuir très loin pour t’approcher.
Noir, comme cet éclair dans la nuit
Blanc, comme le charbon qui fume.
Voir, au loin, dans cette brume
Hurler ton nom sans faire de bruit.
Tout est son contraire lorsque je pense à toi
Au fond de l’eau je flotte, je nage dans les nuages.
Un feu glace mon sang, surplace je voyage
Je t’aime à t’en haïr lorsque je pense à toi.
Ne plus penser pour comprendre
Tout oublier pour apprendre.
Rire encore à en pleurer
S‘enfuir très loin pour t’approcher.
Noir, comme cet éclair dans la nuit
Blanc, comme le charbon qui fume.
Voir, au loin, dans cette brume
Hurler ton nom sans faire de bruit.
Tout est son contraire lorsque je pense à toi
Au fond de l’eau je flotte, je nage dans les nuages.
Un feu glace mon sang, surplace je voyage
Je t’aime à t’en haïr lorsque je pense à toi.
lundi 20 août 2012
Mon amour, Notre amitié
Mon amour, Notre amitié
Des nuages noirs foncent un ciel déjà bien chargé
Un vent violent s'engouffre dans les voiles,
Emportant ma frêle esquisse dans des lieux éloignés.
S’écartant naïvement du chemin de l'étoile.
Pourtant le voyage commençait plutôt bien.
Une mer calme aux poissons multicolores,
Des découvertes dans tous les ports
Toucher du doigt le rêve galiléen.
Notre amitié, une plage ou l'on peut
Courir nu, sans pudeur et sans peur.
Un refuge sous les palmiers s'il pleut
attendant un soleil pour sécher nos pleurs.
Une amitié, relation pourtant délicate
Entre un homme et une femme.
Un feu qui couve sans flamme
Un chemin magnifique sur une ligne étroite.
Amitié et amour, deux mots qui se ressemble
Glisser de l'un vers l'autre sans s'y attendre
Dériver tendrement comme vers un temple
Ou amour et amitié, ensemble s'assemblent.
Mon amour, telle une rose sans épine
Éveillant l'ensemble de nos 6 sens
Innocence, croissance, magnificence
Figé, au centre d'un champ de ruines.
Mon amour, résultante d'une amitié
Ne peut blesser, ne peux casser
Mon amitié, survivante châtiée
Restera sublimée à jamais.
Les nuages s'effaceront, le vent s'apaisera
Mon esquisse est finalement solide
Sur des cours d'eau plus fluides
La tempête est passée, il ne pleuvra pas.
F. N
Des nuages noirs foncent un ciel déjà bien chargé
Un vent violent s'engouffre dans les voiles,
Emportant ma frêle esquisse dans des lieux éloignés.
S’écartant naïvement du chemin de l'étoile.
Pourtant le voyage commençait plutôt bien.
Une mer calme aux poissons multicolores,
Des découvertes dans tous les ports
Toucher du doigt le rêve galiléen.
Notre amitié, une plage ou l'on peut
Courir nu, sans pudeur et sans peur.
Un refuge sous les palmiers s'il pleut
attendant un soleil pour sécher nos pleurs.
Une amitié, relation pourtant délicate
Entre un homme et une femme.
Un feu qui couve sans flamme
Un chemin magnifique sur une ligne étroite.
Amitié et amour, deux mots qui se ressemble
Glisser de l'un vers l'autre sans s'y attendre
Dériver tendrement comme vers un temple
Ou amour et amitié, ensemble s'assemblent.
Mon amour, telle une rose sans épine
Éveillant l'ensemble de nos 6 sens
Innocence, croissance, magnificence
Figé, au centre d'un champ de ruines.
Mon amour, résultante d'une amitié
Ne peut blesser, ne peux casser
Mon amitié, survivante châtiée
Restera sublimée à jamais.
Les nuages s'effaceront, le vent s'apaisera
Mon esquisse est finalement solide
Sur des cours d'eau plus fluides
La tempête est passée, il ne pleuvra pas.
F. N
vendredi 17 août 2012
Bon week end a tous et toutes!
Rafraichissons nos corps de l' eau divine!
buvons a la source de l' amour de vivre;
Cassons la glace sans faire de drame!
Passion torride tu nous enflamme.
Des baisers fous fondent au soleil
tu me désire en arc en ciel!
Arc en ciel de mon antre merveille
tu es mon autre au ton pastel......
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